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RetourRentrée : le 22 septembre, c’est la Welcome Night !
Coup de cœur Culture Sorties
Retiens la date ! Afin de bien débuter l’année, la Ville de Chambéry et ses partenaires t’invitent pour la traditionnelle “Welcome Night” et ça va swinguer !
Préviens ton entourage, le 22 t'es booké.e
Pour la 5ème édition, la Ville de Chambéry en partenariat avec la scène nationale Malraux et la Mission Locale Jeune de Chambéry, organisent la soirée d’accueil des étudiants sur son territoire. Cette opération a pour but de créer des rencontres, fédérer les étudiants entre eux et leur faire découvrir la ville.
Et comme pour les deux dernières éditions, on se retrouve à partir de 19h30 sur la place Brigade de Savoie pour une soirée gratuite et festive !
Foodtrucks et buvette sur place !
Plusieurs espaces de restauration seront disponibles pour casser la croute assurés par “L’Avalanche” et “Tao Pizzas” mais aussi une buvette proposée par La Base !
Pas 1 Mais 3 concerts !
C’est presque un mini festival que l’on te propose pour cette 5ème Welcome Night alors on te laisser jeter un oeil aux artistes présents ce soir là :
Moonbird
À mi-chemin entre les paysages impressionnistes d’Apparat, la techno brûlante de DanielAvery et les interprétations tortueuses de Thom Yorke, l’électronique se fait ici le canevas
d’une certaine sensibilité, avec un goût prononcé pour l’immersion dans des paysages imaginaires décharnés.
Human Pattern
Après un voyage à Berlin, et un véritable coup de foudre pour la techno minimale allemande, Human Pattern se lance le défi de reproduire les sonorités chirurgicales
des machines électroniques et les textures abstraites des synthétiseurs uniquement avec son instrument : le saxophone.
A l’aide de pédales d’effet de guitare, de microphones en tous genres et de son ordinateur, il détourne cet instrument à vent pour en proposer une version electrifiée, plus froide et synthétique. Human Pattern, c’est une vision inhabituelle du saxophone : sombre, répétitive et minimaliste.
Brume
De leurs vrais noms Thibaud François et Maxime Rome, ces deux trentenaires vouent un culte inconditionnel à la période des eighties. À travers ce second EP développé comme un pastiche rétro de l’univers fantastique de ces années, ils poussent le vice à proposer une vision complètement barrée de cette époque à grand coups de synthés analogiques et de guitares rageuses, et reprennent tous les codes de l’horror-pop à travers un concert pensé comme un road-movie.